Hack for good 2017
Deux DA adeptes de la culture visuelle. Dans la mesure où ils sont tous deux directeurs artistiques, Lauren et Jimmy forment une équipe atypique, mais qui fonctionne néanmoins à la perfection. «Dans un contexte où les images sont essentielles, nous vivons cette spécificité comme une force», expliquent-ils.

Et ce d’autant que la complémentarité de leur parcours respectif est une source d’enrichissement. Australienne, Lauren Haberfield, 27 ans, a travaillé au sein d’agences de pub dans plusieurs pays et adore les voyages, «véritables sources d’enrichissement culturel et visuel». Jimmy Charles, 26 ans, est quant à lui originaire de La Rochelle et s’est formé aux métiers de la pub audiovisuelle au sein de Sup de pub. Passionné par le webdesign, le motion design et l'UX design, il a travaillé au développement d’une appli baptisée Spotr.Lauren et Jimmy se disent «curieux de tout» et nourrissent leur inspiration en visitant des expo d’art, mais aussi en menant une veille active sur internet sur tous les sujets internationaux et dans tous les domaines possibles.Ensemble, ils ont déjà travaillé sur des causes associatives, notamment pour le projet Innocence en danger: «Une très belle cause qui donne du sens à nos métiers. "Guilty Tags", c’est neuf histoires d’enfants inspirées de faits réels, et racontées sur Instagram.»

C’est avec beaucoup de plaisir et d’excitation qu’ils s’apprêtent à plancher sur le Hack for good. Une épreuve qu’ils ont préparée en observant de près les campagnes menées les années précédentes. Pour eux, c’est à la fois un défi et une opportunité! 

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