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Le groupe publicitaire américain Omnicom, qui doit fusionner dans le courant de l'année avec Publicis pour donner naissance au leader mondial de la communication, a indiqué qu'il n'était «pas possible», selon les termes de son président John Wren, de prévoir quand la finalisation de la fusion pourrait intervenir, alors qu'elle était attendue initialement début 2014. L'opération reste supendue à la décision des autorités chinoises de la concurrence ou à l'examen des services fiscaux de plusieurs pays, dont la France. Par ailleurs, le groupe a annoncé un bénéfice net pour le premier trimestre 2014 en hausse de 3,5% à 212,3 millions de dollars. La marge opérationnelle ajustée est presque stable à 11,1%. En revanche, les revenus ont progressé de 3% à 3,5 milliards de dollars, dont une croissance organique de 4,3%. 

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