Depuis le 23 mars, Free affiche en haut de la page d'accueil de son site web une discrète mention. Elle explique aux visiteurs que le fournisseur d'accès à internet vient d'être condamné pour tromperie et publicité mensongère. On peut ainsi lire l'extrait de jugement suivant: «la Cour d'appel de Paris a [...] confirmé le jugement rendu le 7 février 2012 qui a déclaré la SAS Free coupable pour les faits commis en 2006 et l'a condamnée à une amende de 150 000 euros [...] et, au titre de l'action civile, à l'indemnisation de l'UFC-Que choisir à 40 000 euros de dommages et intérêts [...] et à la publication dans le journal Le Monde et sur son site internet.» Le litige porte essentiellement sur des promesses de débit qui n'avaient pas été honorées en 2006 (mais pas 2007), obligeant Free à publier cet encart.

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