La deuxième édition du salon Video City se tiendra les 8 et 9 avril prochains à la Porte de Versailles à Paris.
Cette deuxième édition s’inscrit dans le développement de la marque Video City. D’abord en termes de taille, avec 20% de visiteurs en plus, près de 250 youtubeurs présents et 250 demandes d’accréditations presse. Video City, c’est aussi un vrai média, avec une communauté digitale de près de 200 000 personnes à qui l’on parle tout au long de l’année (Facebook, Instagram, Twitter…). En ce qui concerne l’événement, nous avons aussi vraiment voulu mettre à jour le contenu en construisant des expériences ludiques et « viralisables » avec nos partenaires qui sont plus nombreux cette année (L’Oréal, Crédit Mutuel, Sony, Youtube, Facebook, Twitter, Netflix, Ubisoft, HP, Microsoft…). L’idée consiste à créer des moments forts, permettant aux marques de renforcer les liens avec leurs consommateurs. Pour nous, c’est la garantie de proposer des expériences originales pour le visiteur et ainsi transmettre d’autres émotions que la « starification » de ces influenceurs. Pour aller dans ce sens, de nouveaux espaces font leur apparition comme l’espace « Parent7, l’espace culture/web séries », ainsi qu'une Master Class sponsorisée par le CNC, une scène « Lifestyle » et une scène « Gaming ».
Nous avons aussi travaillé l’offre « Food » avec une restauration plus adaptée à notre public, composée de Foodtrucks en tout genre.
La fronde des annonceurs contre Youtube pourrait coûter 755 millions à Google.
À mon sens, cette polémique met en avant deux sujets majeurs : la transparence des achats et la maîtrise des contenus.
N'oublions pas que Youtube est un média encore jeune et que ce sont des turbulences normales pour un marché qui va se réguler. À long terme, Google trouvera certainement une solution pour renforcer les options de contrôle.
Le festival Rock en Seine passe dans le giron d'un banquier, Matthieu Pigasse.
Je ne suis pas d’accord avec le faux procès du banquier pas assez « Rock n’Roll ». La passion n’a pas de frontière et l’habit ne fait pas (forcément) le moine. Et Mathieu Pigasse se situe souvent là ou ne l’attend pas... Cela prouve aussi que les événements sont comme des médias à part entière. Un media d'avenir selon moi. Au-delà du côté affectif qui semble motiver ce rachat, il y a une vraie stratégie business et média « à 360° ».
Elon Musk, PDG de Tesla Motors, veut « sauver l’humanité de sa déchéance » grâce à sa start-up Neuralink, dont le dispositif permet de relier le cerveau humain à des circuits intégrés.
Vaste et angoissant sujet. L’idée d’avoir un corps étranger dans le cerveau est difficile à concevoir et à matérialiser. La surchauffe « connectique » guette à l’heure de l’avènement des « digital detox ». Après, je fais aussi partie des éternels optimistes qui voient les bons côtés de ces innovations qui pourraient peut-être sauver des vies, faciliter l’accès à la technologie pour des personnes handicapées, utiliser les pleines capacités du cerveau humain, etc.
L'action de Snapchat a chuté de 4% en un mois, sans doute à cause de l'offensive de Facebook.
La date d'introduction est encore très récente, le 2 mars dernier, il s'agit donc juste d'une réaction à la réplique de Facebook. Mais cela illustre bien le fait que le parcours en bourse de ces jeunes entreprises digitales est très volatile et qu’il ne faut pas grand-chose pour le déstabiliser ou que l’action s’envole. Les innovations sont déterminantes dans la course à la fidélisation. Et puis, la chute est à la hauteur de l'introduction. Là encore, nous en sommes au début des « stories »...
La Ville de Paris interdit les pubs sexistes et discriminatoires.
Ce sujet qui ne devrait même pas exister. Espérons que les dérives constatées ne donnent paradoxalement pas trop de poids au « tout interdit ». La créativité se nourrit de contraintes, espérons que cela soit le cas.
