La Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a invalidé la théorie selon laquelle des messages privés se seraient retrouvés publiquement exposés sur Facebook et pointe les modifications «récurrentes et unilatérales» de la plate-forme pour expliquer la confusion des utilisateurs français, qui avaient cru la semaine dernière à un bug. Un porte-parole de Facebook France a immédiatement réagi, indiquant que le groupe était «satisfait des échanges avec la Cnil». Le gouvernement a néanmoins demandé le 2 octobre à Facebook de lui transmettre «avant la fin du mois de novembre» les mesures que le réseau social compte prendre pour respecter les recommandations de la Cnil en matière de protection des données personnelles.

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