L'ex-patron de la Fédération internationale de l'automobile Max Mosley, éclaboussé en 2008 par la publication de ses ébats sado-masochistes, a assigné le 4 septembre en justice Google France pour obtenir le blocage définitif de ces images sur Internet. L'avocate de Mosley a demandé aux juges du tribunal de grande instance de Paris d'obliger Google France, sous peine d'astreintes financières, non seulement à retirer toutes les images incriminées, mais aussi à agir pour empêcher à l'avenir la diffusion de ces images via son moteur de recherche. Pour Google, cette demande est «une aberration juridique» qui «porte atteinte à la liberté fondamentale d'expression et d'information sur Internet». Le tribunal a mis sa décision en délibéré au 21 octobre.

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