La Société du Figaro, qui publie notamment le quotidien du même nom, veut négocier avec les syndicats un accord de rupture conventionnelle collective, qui ne concernerait que des postes non-rédactionnels, pour accompagner sa transformation numérique, a indiqué vendredi la direction du groupe. «On réfléchit avec les partenaires sociaux à un accord collectif de rupture conventionnelle, qui est une des nouvelles dispositions des ordonnances Macron», a déclaré à l'AFP Marc Feuillée, directeur général du groupe Le Figaro. Le groupe devrait boucler l'année 2017 avec des résultats conformes à ses objectifs, et «à peu près identiques à l'an dernier», a-t-il précisé.