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Selon une enquête du Wall Street Journal, au moins onze applications de santé ont pu partager leurs données avec Facebook, sans même que les utilisateurs n’aient de compte sur le réseau social, car elles stockaient leurs données directement sur les systèmes de Mark Zuckerberg. Via l’identifiant publicitaire unique, le réseau social pouvait faire tous les recoupements, et ainsi connaître les battements du cœur des internautes, mais aussi les périodes d’ovulation et de règles des femmes qui utilisaient Flo Period & Ovulation Tracker, et aussi réutiliser ces données pour les cibler ensuite. L’application de recherches immobilières, Realtors, faisait aussi partie du lot et envoyait les locations et les prix de biens recherchés.

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