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C’est une tribune qui fera grand bruit. À la veille de la rencontre entre Mark Zuckerberg et Emmanuel Macron, le cofondateur de la plateforme Chris Hughes – qui ne travaille plus en son sein –, a publié un texte dans le New York Times, où il indique être en faveur d’un démantèlement de la plateforme, devenue trop grosse et trop puissante, mettant en danger la démocratie. Après avoir dressé un profil «humain» de son colocataire de chambre à la fac, il affirme qu’il détient trop de pouvoir (60% des parts de voix au conseil d’administration) et qu’il s’est entouré de personnes qui ne le remettent pas en cause. Une tribune qui fera avancer l’idée déjà rampante aux États-Unis (et dans le monde) d’un démantèlement des plateformes trop puissantes.

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