L’inéluctable rendez-vous calendaire annonçant la nouvelle année est traditionnellement l'occasion des bilans, avec son lot de bons et de moins bons souvenirs. En l'occurrence, l'année 2015 fut particulièrement douloureuse. Mais cette bascule d'une année sur l'autre est aussi le moment des nouvelles résolutions et ambitions, des nouveaux espoirs. Personnels bien sûr, mais aussi professionnels. Or, si l'année qui s'annonce reste pleine d'incertitudes (économiques, politiques, sociales…), elle ouvre plus que jamais de nouvelles perspectives avec, pour l'univers de la communication et des médias, des rendez-vous et des enjeux de taille. Du pari de la convergence au coup d'envoi de l’élection présidentielle en passant par de grands événements sportifs et la législation autour du numérique, l'année 2016 promet d'être animée. 

Mais, dans le marché de la communication, il est un enjeu qui, après des années de gestation, de tâtonnements et de tentatives plus ou moins heureuses, sera plus que jamais d’actualité: l’émergence, tant en agence que chez l’annonceur, de nouveaux modèles enfin adaptés à la transformation numérique. Car si les anciennes organisations et les bonnes vieilles méthodes font de la résistance, comme le rappelle le baromètre des métiers de la communication de Limelight Consulting, dont Stratégies détaille les enseignements, c’est bien d’un nouveau contrat entre marques, agences mais aussi médias que naîtra ce nouvel écosystème tant attendu, et qui ne pourra être basé que sur l’innovation, la création et la confiance. Encore faudra-t-il, de part et d’autre, éviter les tentations du moins-disant, de la poudre de perlimpinpin et de la «pop-uberisation». En somme de la facilité. Mais n’est-ce pas l’heure des bonnes résolutions? 

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