Durant les attentats qui ont frappé Paris vendredi 13 novembre, les applications sociales ont été prises d'assaut. Réactives, différentes plateformes ont rapidement mis en place des dispositifs pour faciliter la circulation des informations. A commencer par Facebook et son outil Safety Check, une fonctionnalité mise en service en 2011 mais prévue à l'origine pour les cas de catastrophes naturelles. Ce week-end, 5,4 millions de personnes l’auraient utilisée, d'après un communiqué du réseau social. Twitter a épinglé un message qui proposait de se rendre sur le compte de la Préfecture de police pour le suivi des informations officielles. Hangouts de Google a été gratuit toute la nuit de vendredi à samedi en France. Airbnb a ouvert une section répertoriant des logements disponibles à Paris, etc. Voir d'autres exemple dans cet article de Buzz Feed.