Richard Caillat, président du directoire de High Co

Premier job dans la communication?

À La 5. J'étais responsable de l'interactivité et de la fameuse «Question Minitel de Guillaume Durand». C'était le début des chaînes privées.

 

Comment êtes-vous arrivé à votre poste actuel ?

En créant High Co Promotion, société spécialisée en animation de grandes surfaces. Mon idée était que les annonceurs ne relayaient pas suffisamment sur le terrain leurs campagnes médias.

 

Meilleur souvenir professionnel ?

Le séminaire annuel avec mes managers. C'est chaque année un moment très fort entre nous. La force d'une entreprise est d'abord dans le partage du projet et le bonheur d'y travailler.

 

Le plus mauvais ?

Le jour où l'on s'est apercu que les 7 millions de prospectus distribués pour l'anniversaire d'une enseigne étaient tous gagnants pour le premier prix : une Clio.

 

Si vous deviez changer de métier ?

Diriger un club de foot, produire des pièces de théâtre ou écrire. Entreprendre toujours et encore…

 

Que disaient vos profs de vous ?

Timide, mais bon élève. Les cours ne m'intéressaient pas beaucoup, en fait.

 

Si vous aviez un rêve ?

J'en ai mille ! Sur le plan professionnel, High Co encore plus haut, accompagner les distributeurs et les marques dans la révolution numérique, être au cœur des magasins de demain. Sur un plan personnel, mes rêves sont liés à mes passions pour le sport et le monde du spectacle.

 

Dates clés

1987-1988. Diplômé d'Euromed Management et DESS Celsa.

1988. La 5.

1991. Création de High Co.

1996. Entrée en Bourse.

2004. Parution de Be Blue Cat (Être singulier ou ne pas être , éd. Laffont).

2006. Passionnément singulier (éd. Gallimard).

2007. Président d'OM Entreprendre, puis OM Events au sein de l'Olympique de Marseille.

2009. Mais qui a tué le pouvoir d'achat ? (éd. Privé).

2010. 20 ans de High Co.

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