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C'est la part d'internautes qui ont déjà renoncé à partager un contenu publié par une ONG parce qu’ils avaient peur de choquer leurs contacts, révèle une étude réalisée pour Communication sans frontières (CSF) par Harris Interactive dans le cadre de la Social Good Week en décembre. «Ces campagnes peuvent atteindre à la dignité de la personne, et interpeller le public pour de mauvaises raisons», souligne CSF, qui appelle à des messages certes transgressifs, mais déontologiques.

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