Sur les 530 «bad buzz entreprises» étudiés sur l’année 2019 par MCC, Google (20), Apple (19), Amazon (14), Facebook (14) et Netflix (13) arrivent en tête en termes d’occurrences, selon l’agence fondée par Marie Muzard, spécialisée dans la communication de crise et la réputation des marques sur les réseaux sociaux. Ces «multirécidivistes» qui ont pour point commun d’échapper à l’impôt en France sont suivis par Nike (12), Disney (10), Youtube (9), France 2 (6) et Huawei (6). À l’origine des bad buzz, le non respect des clients (21%), la discrimination ethnique (16%), le sexisme (16%), les comportements déviants (12%) et les manipulations (12%). 82% des marques victimes de bad buzz choisissent de communiquer (67% en 2017). 48% le font sous forme de mea culpa (34% en 2017) et 27% sous forme de rétropédalage (18% en 2017). Forte d’une base de données de 3500 bad buzz, MCC analyse les occurrences sur le web anglophone et francophone.
