Les campagnes marquantes

Les bébés d’Evian ou « Les Voleurs de couleurs » de Kodak

« C’est difficile de prendre la parole sur 50 ans d'histoire de la publicité quand on ne la fréquente que depuis une décennie, douze ans plus précisément. C’est drôle parce que quand j’avais douze ans justement, il n’y avait que cinq chaînes à la télé, et je crois que c’est ça que j’aurais aimé faire : des pubs dont tout le monde parle parce que Netflix n’existe pas encore, des pubs qui passent au milieu du Club Dorothée et dont on se souvient encore vingt ans plus tard. Bon alors oui, il y a peut-être un peu beaucoup de rimes dans le lot (n’empêche que dire qu’on est à l’origine de “quand y en a marre, y a Malabar”, ça doit en jeter dans les dîners), mais aussi quelques merveilles populaires et brillantes à la fois, les bébés d’Evian ou des voleurs de couleurs de Kodak par exemple. Des vraies pubs, avec des vraies stratégies, des vrais partis pris créatifs, et diffusées pour de vrai à la télévision. C’est chouette. »

 

 

 

Les pires campagnes

RIPub

« Les pires campagnes, c’est difficile à dire. Celles qu’on oublie, tout simplement. Qui ont demandé de l’énergie à des dizaines de personnes pour être instantanément oubliées. RIPub (pardon pour ça, c’est de repenser aux spots des années 90 qui me donne envie de faire des jeux de mots). »

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