Les nouveaux outils écologiques du marketing et des médias

La deuxième édition de l’étude publiée par Big Youth permet de classer les sites web en fonction de leur impact environnemental. Un article proposé également en version audio.

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L’agence de design digital Big Youth (groupe Makheia), spécialisée dans la création de sites e-commerce, a publié en mai la seconde édition de son Observatoire de l’impact positif. Cette étude passe en revue une trentaine de sites web de grandes marques et les classe selon différents critères, dont celui de l’éco-conception, à partir de l’outil EcoIndex de Green-IT. L’occasion de s’apercevoir que les bons réflexes sont encore loin d’avoir été adoptés par tous, notamment dans le secteur de la distribution, où nombre d’enseignes continuent de fonctionner avec des sites très complexes, gourmands en ressources et difficiles à optimiser.

« À l’inverse, une marque comme Renault, qui a revu son site en prenant en compte les nouvelles normes d’éco-conception, se classe numéro un sur ce critère. Cela démontre qu’une refonte peut être très vertueuse sur le plan de l’impact environnemental », observe Amélie Ponchau, directrice générale de Big Youth. En parallèle, Big Youth a commandé un sondage au cabinet Occurrence sur la perception qu’ont les Français de l’écologie digitale. Certaines marques en retard sur l’éco-conception restent pourtant perçues comme les plus impliquées dans ce domaine…

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