La même, en différent. Altmann + Pacreau, qui vient de remporter le budget Balsamik, la marque de mode qui s’adapte aux morphologies, vient de dévoiler son film. Résultat? Une production et une réalisation plutôt réussies. Le spot, signé Audrey Dana, plusieurs fois nominée aux César en tant que comédienne et réalisatrice de Sous les jupes des filles, rythme parfaitement son film. En revanche, la marque garde la même ligne stratégique que par le passé, avec la mise en évidence de la diversité des femmes et le refus de la «femme standard», agrémenté du rapport à la séduction. Tout cela pour expliquer le cœur d’activité de Balsamik: les vêtements morphologiques.
Nulle référence au digital
La marque reprend ainsi tout ce qu’elle avait déjà mis en avant dans ses précédentes campagnes. Une continuité stratégique matérialisée par la musique, la même que celle des anciens films, réalisée par La Famille XXL. Exit donc la valorisation de la mode qui aurait pu être attendue et qui aurait permis d'installer la marque dans un univers plus émotionnel. On notera également que le spot ne fait jamais référence au digital sous quelque forme que ce soit. Aucune tablette, ni téléphone, ni ordinateur n’est présent dans ce spot. Seul l'adresse Balsamik.fr vient clôturer le film - étrange pour une marque d'e-commerce.