corporate

Apple et Nike se sont ajoutés à la liste des entreprises et personnalités mises en cause par les révélations des «Paradise Papers» sur des pratiques d'optimisation fiscale à l'échelle mondiale.

Apple aurait ainsi utilisé le paradis fiscal britannique de Jersey pour continuer à ne payer pas ou très peu d'impôts après avoir dû mettre fin à des pratiques similaires en Irlande.

De son côté, Nike a créé des sociétés offshore aux Bermudes et c'est à ces sociétés que les filiales de Nike devaient verser des centaines de millions d'euros pour utiliser les droits sur la marque. Avec les sommes importantes payées pour les licences, les bénéfices dans le monde du groupe ont été diminués et donc le montant des impôts payés par le fabricant d'articles de sport. 

 

La suite des «Panama Papers»


Dix-huit mois après les «Panama Papers» portant sur la fraude fiscale, le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ), regroupant 96 médias de 67 pays, avait commencé le 5 novembre à dévoiler sa nouvelle enquête après un an de travail basé sur la fuite de 13,5 millions de documents financiers, provenant notamment du cabinet international d'avocats Appleby, basé aux Bermudes.
   


Suivez dans Mon Stratégies les thématiques associées.

Vous pouvez sélectionner un tag en cliquant sur le drapeau.