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Le bouton «panique», annoncé jeudi dernier par Tinder dans l'objectif de renforcer la sécurité sur ses applications de rencontres, fait polémique. Le bouton doit permettre d’alerter et de partager les données de qui l’on rencontre, où et quand. Pour lancer cette fonctionnalité d'alerte (il s'agit d'une application gratuite à télécharger en complément de Tinder), le Groupe Match, propriétaire de l'application de rencontres, a racheté la société Noonlight. Seul hic, selon le site Gizmodo, la technologie permet aussi de partager des données personnelles avec des sociétés tierces, pour de la publicité (dans le cas de Noonlight, avec Youtube et Facebook), ce qui a refroidi la presse et les internautes.

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