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Le groupe lyonnais de lingerie haut de gamme Lise Charmel a été placé en redressement judiciaire «par protection» après une cyberattaque qui a eu lieu début novembre, et dont l'entreprise ne s'est vraiment sortie qu'en janvier. Le 8 novembre au matin, toutes les données de l’entreprise se sont retrouvées cryptées, et elles devaient payer des «preneurs d’otage» en échange de la clé de décryptage. Plutôt que de payer – ce qui est fortement déconseillé –, le groupe a choisi de tout reconstruire. Le redressement judiciaire est avant tout technique, pour se mettre à l’abri de pression financière. «Tous nos partenaires ont formé une super chaîne de solidarité, sont au courant et nous soutiennent», a affirmé Olivier Piquet, le DG de l’entreprise.

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