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AT&T et Time Warner s'employaient lundi 24 octobre à défendre leur fusion face au tir de barrage de la classe politique américaine, des régulateurs et des rivaux contre ce mariage qui va redessiner le paysage médiatique du pays. «Nous ne sommes en compétition nulle part. Cette fusion est purement une intégration verticale» et non une consolidation, a martelé Randall Stephenson, le PDG de AT&T, qui va diriger le nouveau groupe dont les activités vont aller du téléphone à l'internet en passant par la TV et les créneaux très lucratifs des contenus et de la distribution. Annoncée samedi, la fusion à 85,4 milliards de dollars a été notamment critiquée par le candidat républicain Trump, qui y voit une «concentration» excessive de pouvoirs, mais a aussi soulevé des réserves dans le camp d'Hillary Clinton, notamment de la part de Bernie Sanders.

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