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David Dedeine, cofondateur d'Asobo Studio, spécialiste de l'écriture de jeux vidéo, indique quelles sont les contraintes de la réalité augmentée pour l'écriture de fictions.

Dans le cadre du Fipa, qui se tient à Biarritz jusqu'au 28 janvier, David Dedeine, cofondateur d'Asobo Studio, une entreprise bordelaise spécialisée dans les jeux vidéo, a présenté sa dernière création en réalité augmentée: Fragment's. Installé dans le fauteuil de son canapé, le joueur, chaussé de lunettes interactives, peut voir et discuter avec des personnages virtuels situés dans son propre salon. Le but est de résoudre une enquête criminelle.

La technologie, baptisée mix-réalité, pourrait facilement être transposée à l'écriture d'une fiction ou d'un contenu destiné à la communication d'une marque, par exemple.

Toutefois, David Dedeine explique que quelques contraintes techniques empêchent encore le virtuel d'apparaître comme réel au spectateur. «L'objectif est de créer une expérience immersive d'intérêt», confie-t-il. Car l'histoire doit toujours être plus importante que la technologie.  

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