L'appel à une «journée sans journaux» lancé par la Filpac-CGT (Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication) a été peu suivi en régions, et s'est surtout traduit par l'absence en kiosque des quotidiens nationaux. La Filpac veut dénoncer «la casse sociale en marche» dans la presse: elle a listé les centaines de licenciements envisagés dans le secteur, réclame un moratoire sur les suppressions de postes et un débat national, tandis que le patronat (Syndicat de la presse quotidienne régionale) défend l'idée d'une négociation entreprise par entreprise. La Filpac avait été accusée par GHM et Rossel d'avoir fait échouer leur opération de rapprochement abandonnée fin juin.

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