réseaux sociaux

Face à la déferlante de fausses informations en ligne, Twitter ne peut pas être «l'arbitre de la vérité», a indiqué Audrey Herblin-Stoop, directrice des affaires publiques du réseau social en France, au site Next INpact : «Confier ce rôle à des entreprises privées correspond à une vision court-termiste, est dangereux pour la démocratie et affaiblit activement le rôle vital des médias dans notre société». La proposition de loi sur les «fake news» présentée par le gouvernement dans les prochains jours contraindra les plateformes à «coopérer avec l'État».

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