Si les éditeurs numériques français font partie des plus matures sur le sujet de la disparition des cookies third party en 2022, moins de la moitié d’entre eux seulement travaillent proactivement en interne sur le sujet à l’heure actuelle (tests et plan d’action précis), selon une étude de Teads, menée sur 450 éditeurs dans le monde. La raison ? La plupart des éditeurs estiment manquer d’informations sur les alternatives envisageables, en dehors du Privacy Sandbox de Google. Alors qu’entre le contextuel, les données first-party ou les systèmes d’ID partagés, les alternatives ne manquent pas...
