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La Coupe du monde se tient cette année en automne et dans la polémique. Non sans conséquences, en termes de recettes publicitaires et d’intérêt du public, pour TF1 et BeIn Sports qui diffusent la compétition.
Du Qatar bashing au jackpot pour les chaînes TV ? Alors que démarre la compétition, les plannings publicitaires se porteraient bien. Aussi bien chez TF1, diffuseur en clair des 28 meilleures affiches, que chez BeIn Sports, proposant en payant les 64 matchs de la compétition. « La commercialisation était en avance de quelques jours par rapport au Mondial 2018 », déclarait à J-3 du lancement François Pellissier, directeur général adjoint business et sports de TF1. « S’agissant du sponsoring, nous avions tout vendu en quinze jours », indique Florence Brame, directrice de BeIn Régie, chez BeIn Sports. Les deux acteurs avaient, entre février et juin, présenté leurs dispositifs, parrainage, écrans classiques, digital et social, etc. Restera la question de la rentabilisation des droits.
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Décalé à l’automne, ce Mondial intervient dans une période traditionnellement bonne pour la