Le ministère a confirmé être victime d’un ransomware par le collectif de hackers Lockit 2.0. Des données ont été subtilisés, selon les hackers, qui donnent jusqu’au 10 février au ministère pour s’acquitter de l’amende avant de les rendre publiques. L’Anssi a été saisie de l’affaire, afin dé vérifier la véracité de la subtilisation des données et surtout de jauger leur valeur. Certains hackers font des «coups de com» en ne subtilisant que des données inutiles ou peu sensibles, mais en demandant tout de même une rançon.