Après l'avarie du premier confinement, le navire événementiel puise dans ses ressources digitales pour se maintenir à flot et ne pas sombrer complètement. «80 à 90 % des opérations n'auront pas pu se faire entre mars et décembre», relève Cyril de Froissard, président de Lévénement, qui prévoit une perte d'environ «trois quart du chiffre d'affaires» par rapport à une année sans virus, soit 75% de 30 à 40 milliards d'euros, estime-t-il. Pour ce dernier, le reconfinement signe la fin d'un espoir de reprise à court terme pour le secteur. En savoir plus

Suivez dans Mon Stratégies les thématiques associées.

Vous pouvez sélectionner un tag en cliquant sur le drapeau.