Edito

Depuis le 29 octobre dernier, nous avons franchi un cap important : nous sommes à moins de 1000 jours de Paris 2024. Cette année-là, pour la troisième fois –après 1900 et 1924–, Paris accueillera les Jeux olympiques et plus de 10 000 athlètes. Pourtant cette fois ci, il y a un petit retard à l’allumage de la flamme olympique, lié à la circulation toujours active du covid. Les acteurs de la communication sportive tardent à donner le coup d’envoi de leurs dispositifs et activations. Certains sponsors comme Orange ou EDF n’ont d’ailleurs pas encore lancé leurs appels d’offres pour choisir leur agence de communication… Pour autant, le Cojo de Paris 2024 estime que deux tiers des recettes partenariales devraient être sécurisées d’ici à la fin 2021 (lire notre dossier p.40).

Si le mouvement promet d’être fort et de bénéficier à tout l’écosystème de la communication sportive et de l’événementiel, il faut que le spectre de l’épidémie s’éloigne complètement pour que l’audace soit là et l’effet d’entrainement important.

L’une des stars de Paris 2024, ce sera Roland-Garros : le stade mythique accueillera les épreuves de tennis. Or, au terme d’un long chantier, le navire amiral de la Fédération française de tennis a changé de visage. Un nouvel écrin magnifique qui a bénéficié aussi d’un rebranding total porté par l’agence W. Un projet qui remporte le Grand Prix Stratégies du sport 2021 !

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