Le palmarès du 44ème Grand Prix Stratégies de la Publicité sera-t-il marqué par le Covid ? Trouvera-t-on des dispositifs TikTok dans les cas présentés ? Faut-il récompenser des campagnes résilientes ou plutôt des coups de pub positifs et décoiffants ? Peut-on primer des campagnes qui répliquent une mécanique déjà utilisée ? Voilà les questions qui taraudaient la quinzaine de membres du jury présidé par Mélanie Pennec (DDB Paris) qui se sont réunis les jeudi 10 et vendredi 11 juin dans la campagne yvelinoise. C’était la première fois que ces créatifs de haut vol se retrouvaient en chair et en os depuis près de deux ans pour juger des pubs. Alors personne ne boudait son plaisir. Le palmarès sera révélé à la rentrée dans le cadre de la deuxième édition du Stratégies Festival (21, 22, 23 septembre) : trois jours de remises de prix, de conférences mais aussi de célébration du demi-siècle de Stratégies avec une exposition sur 50 ans d’histoire de la pub et des médias et le grand retour de la Nuit des Publivores. Mais on a pu observer dans les cas présentés au Grand Prix Stratégies des tendances comparables à ce qui semble se dégager pour les Cannes Lions, avec beaucoup de campagnes dans le registre de l’engagement des marques, avec, ou sans, le supplément larmes. Retrouverez d’ailleurs dans ce numéro, les prévisions des créatifs français pour les Cannes Lions.
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