C’est son concurrent, Google, qui a révélé à Apple l’existence d’un piratage de grande ampleur qui passait par son navigateur, Safari. En se rendant sur certains sites que Google a refusé de nommer publiquement, les pirates passaient par une faille logicielle pour récupérer des données personnelles contenues dans le téléphone, notamment des messages, photos, géolocalisation et même des conversations cryptées issues de Telegram ou WhatsApp.