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Santé et bien-être, ces deux mots sortent aujourd'hui de toutes les bouches et sont des préoccupations de premier plan chez les Français en 2024. Dans cette volonté, la lutte contre le tabagisme traditionnel occupe une place centrale, avec une conscience accrue des risques pour la santé associés à la consommation de tabac.

De nombreuses alternatives ont émergé pour aider les fumeurs à abandonner cette habitude nocive, dont les cigarettes électroniques qui ont gagné en popularité, et qui forment une solution pour réduire les risques.

Des habitudes de consommation révélées au grand jour

Une étude menée par l'institut BVA XSight pour Kumulus Vape a révélé des perspectives inattendues sur le rôle de la cigarette électronique dans le débat sur le sevrage du tabagisme en France. 1 002 individus, fumeurs et/ou non-fumeurs, âgés de 18 ans et plus, ont été interviewés en utilisant une méthodologie basée sur un échantillonnage par quotas pour garantir la représentativité de l'échantillon. 53% des personnes interrogées reconnaissent le moindre danger de la cigarette électronique par rapport au tabac fumé, alors même que 27% pensent qu'elle est tout aussi dangereuse.

On constate une réelle volonté d'arrêter de fumer chez plus de la moitié des fumeurs interrogés, avec 63% envisageant de le faire dans les six prochains mois. Près de la moitié d'entre eux considèrent la cigarette électronique comme un allié dans cette démarche vers un mode de vie sans tabac, soulignant le nombre de Français potentiellement intéressés par la vape à près de 12 millions de fumeurs.

Bon à savoir : les motivations derrière le choix de la cigarette électronique tournent autour de la recherche d'une meilleure santé, de la réduction des coûts, de gestes similaires au tabagisme traditionnel et de son efficacité reconnue dans l'arrêt du tabac.

Un appel à une meilleure reconnaissance du rôle de la vape

Des critiques envers les politiques publiques sont ressorties, appelant à une réduction de la fiscalité sur les cigarettes électroniques et mettant en avant une reconnaissance insuffisante du rôle de la vape dans la lutte contre le tabagisme par les autorités.

Ces résultats soulignent l'importance de la cigarette électronique en tant qu'outil de réduction des risques, malgré un contexte de désinformation et un manque de soutien de la part des autorités publiques. Rémi Baert, fondateur et PDG de Kumulus Vape, insiste sur l'importance de ces résultats et appelle les autorités sanitaires à reconsidérer certaines positions afin de promouvoir une approche mieux informée et plus efficace dans la lutte contre le tabagisme.

Au-delà de ces observations, l'étude aborde également des questions liées à l'acceptabilité sociale et à la régulation de la vape. Elle révèle une demande forte pour une régulation appropriée qui reconnaîtrait les cigarettes électroniques non seulement comme une alternative moins nocive, mais aussi comme un outil potentiel dans les politiques de santé publique visant à réduire la prévalence du tabagisme.

Kumulus Vape : un acteur engagé dans la prévention du tabagisme

On s'aperçoit grâce à cette étude l'affirmation de Kumulus Vape non seulement comme un acteur commercial dans le domaine de la vape, mais aussi comme un partenaire engagé dans le débat public et les efforts pour prévenir la consommation de tabac. Alors que le débat sur la place de la vape dans les politiques de santé publique continue d'évoluer, les données issues de cette étude apportent un éclairage significatif aux discussions, avec l'espoir d'orienter les décisions vers des solutions favorables à la santé publique tout en respectant les choix individuels.

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