audiovisuel

Accusés de partialité, les huit Sages du Conseil supérieur de l'audiovisuel ont réfuté collectivement dans un communiqué les critiques dont ils sont la cible au sujet de la nomination de Delphine Ernotte à la tête de France Télévisions, au lendemain de l'annonce du dépôt d'une plainte pour abus d'autorité par Didier Quillot, l'un des candidats écartés. «On a pu lire que la procédure au terme de laquelle elle a été désignée aurait été l'objet de pressions. Chacun d'entre nous affirme n'en avoir subi aucune», ajoutent-ils, affirmant avoir voté en leur «âme et conscience, sans aucune pression, qu'elle soit politique, économique ou personnelle». L'institution se dit ouverte à des modifications législatives visant à «publier le nom de tous les candidats ou seulement de ceux que le CSA choisirait d’auditionner», à rendre public les projets stratégiques, à entendre des tiers en séance publique ou à ouvrir au public les auditions des candidats.



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