Rétrospective
À l'occasion des 50 ans de Stratégies, deux entrepreneurs de la nouvelle économie, Marc Simoncini et François Deltour, se souviennent de cette période des débuts de l'internet. Guillaume Doki-Thonon, patron de Reech, se penche lui sur ce que l'influence marketing a changé.

Marc Simoncini, entrepreneur, fondateur de Meetic et des vélos électriques Angell

«De manière générale – tout dépend des secteurs –, c’est bien plus facile de lancer son business aujourd’hui. Surtout sur le numérique. Oui, il y a eu une période d’argent facile, où tous les projets étaient financés, même les plus mauvais, mais cela n’a duré que quelques mois, un peu avant les années 2000. On retient souvent cette période mais ça n’a été qu’un épiphénomène dans l’histoire.» Lire la suite ici.

François Deltour, président d'Effinity Partners

«En 2000, nous étions dans l’âge d’or des start-up. Dès que l’on prononçait des mots comme internet, web, start-up ou entrepreneurs, des investisseurs sortaient des sommes incroyables pour des projets qui tenaient sur des post-it, sans même les comprendre. Beaucoup d’encre a coulé sur l’utilisation de cet argent.» Lire la suite ici.

Guillaume Doki-Thonon, CEO et cofondateur de Reech

«Du secteur food jusqu’à celui de la banque/assurance, de plus en plus d’annonceurs capitalisent sur l’influence marketing pour faire passer leurs messages, attirer de nouveaux publics, booster leurs ventes. Pourquoi ? Parce que ça marche. Les influenceurs ont cette capacité à s’approprier un message pour le ramener dans leur univers et le transmettre très naturellement à leur communauté.» Lire la suite ici.

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