Un salarié d'un centre d'appels situé à Caen, élu CGT, a été convoqué lundi 13 décembre à un entretien préalable à un licenciement pour «injure» contre la direction de son entreprise, déposée sur Facebook. Faisant également partie du comité chargé de veiller aux conditions de travail, ce salarié aurait écrit «chef de merde» au lendemain du suicide d'une des employées de l'entreprise. Une accusation qu'il dément alors que tous les salariés peuvent accéder et écrire sur la page.

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