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Le conseil de surveillance de Facebook a estimé mercredi 5 mai que le groupe avait eu raison d'interdire à l'ancien président Donald Trump de poster des messages sur Facebook et Instagram mais a ordonné au géant des réseaux sociaux d'examiner à nouveau le cas dans les six mois. L'ancien locataire de la Maison Blanche a bien «créé un environnement où un risque sérieux de violence était possible» avec ses commentaires le 6 janvier, jour de l'assaut du Capitole, a justifié le conseil. Mais en imposant au lendemain de l'invasion du Congrès, une suspension «pour une durée indéterminée» des comptes de l'ancien président le groupe a enfreint ses propres règles, a-t-il ajouté. Facebook doit donc prendre une décision plus appropriée d'ici début novembre.

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